soit: je loupe mon année, et mes parent m'envoie à Lucerne comme aide-fermière. vu que je puerais beaucoup (à cause des vaches), je n'aurais casi plus de vie sociale... mon seule ami sera Peter-Hans-Rudolf-Jörg, un mec qui se passionne pour les tracteurs... 2 ans à tondre les moutons, à être de corvée de vaisselles, et à parler le swiss-dutsch, je serais devenu presque une Lucernoise pure souche! c'est pour cette raison que, à Yverdon-beach, tout mes amis me tourneront le dos... et vu que je n'aurais que mon certifcat de "fermière-professionnel", personne ne voudras m'engager nullpart... mes parents n'assumant plus en tel boulet dans leur vie et ayant decidé de partir à Rio de Janeiro, je devrai rejoindre R***n qui vivera sous les ponts... il aura laisser tomber le joint et aura commencer le crack... pour oublier ma misère, je deviendrais toxicomane aussi... une nuit d'hiver, j'accoucherais de Gilbert ... je ne saurais jamais qui était le père...(woow! ça rime!) à 20 ans, on emputera ma jambe gangrénée... Gilbert aura bientôt 5 ans, je lui ai enseigner toutes les methodes de vol à l'étalage... mais malheuresment pour moi, mon gagne-pain de fils, attrapera le sida (je ne saurais jamais comment... peut être à cause des seringues d'hero de sa mère... c'est serais encor l'option la plus heureuse...). vu que nous n'avons pas un sous et que la tritherapie n'est plus couverte par l'assurance (de toute façon, on avait pas d'assurance), il crevera entre deux contenaires... j'approche la quarantaine, plus aucune maison close n'accepte mes services... normal, vu l'état de ma figure: mon nez a des teintes violettes et a grossi enormement à cause de l'alcool, mes yeux sont rouges et vitreux, il ne me reste plus que deux dents (et encor, la deuxième pourri de l'interieur)... alors la mafia turque me brise la jambe qui me reste et m'oblige à mendier avec un écritau "pour me payer l'hopital"... à 45 ans, le père Yetim (le big boss de la mafia turque d'Yverdon) me viole et je met au monde Mustafa... Mustafa est malheureusement trizomique, je me verrai obilgée de le noyer dans le buron... un jour que je trainerais mon vieux corps fourbu, un gang de jeunes me tabassera à mort et ne m'ayant pas totalement achevée, j'agoniserai toute la nuit en criant:"j'aurais du reussir ma première année!"
the end