30 avril 2006
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21:03
soirée sympa, vendredi, à l'amalgame voir les Mondrians (pas un chat, maximum trente pelés qui se couraient après!) ... nuit sympa aussi qui se termina au collége pestalozzi, comme d'hab'... après avoir abusé de plein de chose, nous avons enfin atterit où tout humain normalement constitué aime à se prelasser, j'ai nommé, le lit! mais malheureusement, à peine 4 heures passée dans cet endroit merveilleux, un trouble fête vint me perturber:
dialogue avec mon reveil
-tududu tududu tududu (j'essaie d'imiter le bruit de ce trou de balle ambulant, c'est tellement insuportable que c'est impossible...)
-mais putain de bordel de chiotte de merde! c'est samedi! vient pas me faire chiez espèce d'enfoiré de ta race de reveil!!
-eh oh! on se calme! je fais que mon job, on m'a programmé pour te reveiller à 7h, ma grande!
-quoi?? et pourquoi donc???
-car tu as TROIS HEURES DE COLLES mouahahahahahahaha (le rire machiavelique de mon reveil est aussi has been que J.lo)!!!
et sur ce, je me mit en route, aussi fraîche qu'une huître qui n'a pas vu la mer depuis des lustres... j'imagine que, comme des vieux singes à qui on apprend pas à faire la grimace, vous devez tous connaître l'état dans le quel j'étais! pour les extraterrestre: mal de ventre, crâne qui pése trois milles tonnes, jambe en compotte, en gros: la gueule de bois plus une profonde envie de rejoindre mes amies qui, comme des bien heureuses étaient encore entrain de ronfler dans MON lit... après avoir mit mon mascara à côté de mon oeil, enfiler mes chaussures à l'envers, m'être encoublée dans une cannette, je reussi enfin à prendre mon bus... cinq ou six malchanceux sont assis aussi, tous ont une tête de mort vivant et une conversation à decoiffer tout cheuveux permananté... nous nous dirigeons vers la cafét en maudissant le connards qui a un jour inventé l'école... je rejoins Vincent et aperçoit au passage un mec que j'ai hellé le soir d'avant... je pique le mega fard de l'année et me decide à rentrer dans l'établissement, parce que mine de rien, il fait vachement froid le matin... et là commence le suplice: 3 heures intensives d'allemand!!!! sans savoir tenir un stylo plus de trente seconde et avec les oreilles qui bourdonnent, ça rend l'excercie d'autant plus dur... les heures passée, je me dit que, les profs, c'est vachement des gens sans coeur! retour chez moi, ma mère me raconte qu'elle a été vachement surprise de retrouver deux girls dans ma chambre et pas moi... je lui dit que c'est le cadet de mes soucis et vais me recoucher... "bling bling dring couiiiiine!" et voilà que deux heures plus tard, mon natel resonne: "salut Pô! tu sors ce soir?"
c'étais la soirée de trop... trop de monde (mais personne que je connaisse vraiment), trop de fatigue acumulée, trop d'alcool, bref, un fiasco... et voila que j'ai passé mon dimanche à me lamenter et à me torturer mentalement (je suis la meilleur à ce jeu)... en plus je me suis fait traitée de coincée par ma mère... moi je dit stop! stop au harcelement moral! cette grognasse me fait de la pression psychologique pour que j'aie voir je ne sais qu'elle ensorceleur de mes deux... comme si je me foutais pas assez le moral en bas toute seule, cette pauvre femme se sent obligée d'en rajouter une couche: "mais fait quelque chose de ta vie plutôt que d'avoir peur et de t'enfermer dans ton petit monde sans amis et sans avenir que tu es!" (bon, je caricature un peu, mais c'étais casi ça...)... bref... moi je vais me gazer...
juré, si je survit de mon suicide, le prochain article sera interessant...
dialogue avec mon reveil
-tududu tududu tududu (j'essaie d'imiter le bruit de ce trou de balle ambulant, c'est tellement insuportable que c'est impossible...)
-mais putain de bordel de chiotte de merde! c'est samedi! vient pas me faire chiez espèce d'enfoiré de ta race de reveil!!
-eh oh! on se calme! je fais que mon job, on m'a programmé pour te reveiller à 7h, ma grande!
-quoi?? et pourquoi donc???
-car tu as TROIS HEURES DE COLLES mouahahahahahahaha (le rire machiavelique de mon reveil est aussi has been que J.lo)!!!
et sur ce, je me mit en route, aussi fraîche qu'une huître qui n'a pas vu la mer depuis des lustres... j'imagine que, comme des vieux singes à qui on apprend pas à faire la grimace, vous devez tous connaître l'état dans le quel j'étais! pour les extraterrestre: mal de ventre, crâne qui pése trois milles tonnes, jambe en compotte, en gros: la gueule de bois plus une profonde envie de rejoindre mes amies qui, comme des bien heureuses étaient encore entrain de ronfler dans MON lit... après avoir mit mon mascara à côté de mon oeil, enfiler mes chaussures à l'envers, m'être encoublée dans une cannette, je reussi enfin à prendre mon bus... cinq ou six malchanceux sont assis aussi, tous ont une tête de mort vivant et une conversation à decoiffer tout cheuveux permananté... nous nous dirigeons vers la cafét en maudissant le connards qui a un jour inventé l'école... je rejoins Vincent et aperçoit au passage un mec que j'ai hellé le soir d'avant... je pique le mega fard de l'année et me decide à rentrer dans l'établissement, parce que mine de rien, il fait vachement froid le matin... et là commence le suplice: 3 heures intensives d'allemand!!!! sans savoir tenir un stylo plus de trente seconde et avec les oreilles qui bourdonnent, ça rend l'excercie d'autant plus dur... les heures passée, je me dit que, les profs, c'est vachement des gens sans coeur! retour chez moi, ma mère me raconte qu'elle a été vachement surprise de retrouver deux girls dans ma chambre et pas moi... je lui dit que c'est le cadet de mes soucis et vais me recoucher... "bling bling dring couiiiiine!" et voilà que deux heures plus tard, mon natel resonne: "salut Pô! tu sors ce soir?"
c'étais la soirée de trop... trop de monde (mais personne que je connaisse vraiment), trop de fatigue acumulée, trop d'alcool, bref, un fiasco... et voila que j'ai passé mon dimanche à me lamenter et à me torturer mentalement (je suis la meilleur à ce jeu)... en plus je me suis fait traitée de coincée par ma mère... moi je dit stop! stop au harcelement moral! cette grognasse me fait de la pression psychologique pour que j'aie voir je ne sais qu'elle ensorceleur de mes deux... comme si je me foutais pas assez le moral en bas toute seule, cette pauvre femme se sent obligée d'en rajouter une couche: "mais fait quelque chose de ta vie plutôt que d'avoir peur et de t'enfermer dans ton petit monde sans amis et sans avenir que tu es!" (bon, je caricature un peu, mais c'étais casi ça...)... bref... moi je vais me gazer...
juré, si je survit de mon suicide, le prochain article sera interessant...
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